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Le 6 mai, c'est la Journée internationale sans diète

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Le 6 mai, dans de nombreux pays, on célèbre la Journée internationale sans diète, qui a pour objectif de sensibiliser la population à l’inefficacité des régimes amaigrissants et de dénoncer les multiples dangers liés à l’obsession de la minceur.

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Le 2 avril dernier paraissait aux Éditions La Semaine «Non coupable. Libérez-vous de votre culpabilité alimentaire» du nutritionniste réputé Hubert Cormier.

LIRE AUSSI

» BLOGUE: Libérez-vous de votre culpabilité alimentaire


Dans ce deuxième livre, Hubert Cormier aborde dans le même sens en proposant diverses méthodes pour nous aider à nous déculpabiliser face à l’alimentation, présentant des témoignages de gens célèbres, des recettes de collations et quelques trucs et astuces pour mieux manger.

Comme le déjeuner est le repas le plus important de la journée, nous avons choisi cet extrait pour vous rappeler l’importance de démarrer la journée du bon pied avec une saine alimentation :

Six faits étonnants sur le petit-déjeuner :

1. Les études suggèrent que le fait de manger le matin améliore la fonction cognitive (la mémoire) et les résultats académiques, en plus d’augmenter la fréquentation scolaire. Finie l’école buissonnière pour ceux qui déjeunent!

2. Le grignotage en soirée pourrait être exacerbé en absence du petit-déjeuner. De plus, les gens qui omettent de manger le matin auraient tendance à opter pour des collations plus riches en gras et en calories.

3. On dit qu’entre 12 et 34 % des enfants de moins de 18 ans sautent le petit-déjeuner, tendance plus fortement marquée chez les jeunes filles. Ce geste peut être la résultante d’une diète amaigrissante ou de préoccupations par rapport au poids corporel, et mener à des troubles de conduite alimentaire.

4. Le fait de sauter le petit-déjeuner est plus souvent lié au tabagisme, au manque d’exercice et aux diètes.

5. L’apport quotidien en fibres alimentaires est significativement plus élevé chez ceux qui déjeunent. Il ne faut pas oublier que les fibres procurent une sensation de satiété plus élevée. Aussi, manger le matin permettrait d’éviter certaines carences chez des sous-groupes de la population. Par exemple, les jeunes filles qui déjeunent sont moins susceptibles d’être carencées en calcium, car le lait est un aliment omniprésent sur la table, le matin.

6. Enfin, ceux qui optent pour un déjeuner santé sont plus susceptibles de s’entraîner et de pratiquer une activité physique, ce qui contribue par le fait même à éviter le gain de poids à long terme.



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Libérez-vous de votre culpabilité alimentaire

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Aujourd'hui, le 6 mai 2015, se déroule un peu partout dans le monde la Journée internationale sans diète. Le thème de cette année est Plaisir Coupable - Pas besoin de se priver pour bien manger. Lisez bien les trois affirmations suivantes. Est-ce que ce sont des phrases que vous avez déjà dites?

«Je me sens tellement coupable d'avoir mangé tout le sac de chips! C'est décidé : demain, je commence à bien manger!»

«Ah! Si j'avais 15 livres en moins, je pourrais sortir, aller danser, m'acheter plein de beaux vêtements et faire toutes sortes d'activités...»

«Ce midi, j'ai craqué et j'ai mangé un brownie. Du coup, mes efforts pour perdre du poids sont anéantis. Autant m'empiffrer toute la journée!»


Si vous vous reconnaissez dans l'une ou l'autre de ces affirmations, vous souffrez probablement de culpabilité alimentaire. Nocive et pernicieuse, la culpabilité liée à l'alimentation s'introduit tranquillement dans notre vie et, du jour au lendemain, on se sent coupable, sans trop savoir pourquoi. Si toutes sortes de raisons sont à l'origine de cette culpabilité, la finalité demeure la même : on se sent mal dans notre peau et on désire changer notre manière de nous alimenter, parfois pour le mieux, parfois au détriment de notre santé physique et psychologique.

Trop souvent, on perçoit la nutrition comme étant trop compliquée avec tous les «bons» aliments auxquels les nutritionnistes s'attardent et promeuvent et les moins bons aliments souvent perçus comme étant les ennemis ultimes qui s'imposent entre vous et la santé. On les mangera bien souvent à regret sachant très bien qu'on ne mange pas une pomme quand on plonge la main dans un bol de croustilles. Puis, la culpabilité nous envahit.

Je n'aime pas le sentiment de culpabilité, et ce, dans aucune sphère de ma vie. On associe souvent la culpabilité à l'univers de la justice. En matière d'alimentation, la culpabilité est un sujet plutôt tabou. Mais pourquoi l'est-il autant alors que la population ne cesse de grossir? Je ne parle pas ici du nombre d'habitants et de la croissance démographique, mais bien du nombre de kilogrammes qui s'affichent sur la balance. On ne se le cachera pas, l'obésité prend de l'expansion et on parle désormais de pandémie. Je ne veux pas insinuer que la culpabilité alimentaire a un lien puissant avec ce fléau, car elle touche vraiment tout le monde, que ce soit les hommes, les femmes, les maigres, les obèses, les adolescents et les centenaires! Ce que je tente de dire tout simplement, c'est qu'il est bon d'écouter son corps et d'être réceptif aux différents signaux qu'il nous envoie afin de manger sainement, sans se sentir coupable, et ainsi de retirer du plaisir de l'acte de manger.

Plusieurs facteurs sont associés à l'apparition de la culpabilité alimentaire, comme le fait d'être atteint de troubles de comportement alimentaire. Il est évident que les problèmes d'image de soi, d'acceptation de soi ou encore d'une faible estime de soi sont des facteurs à considérer puisqu'ils peuvent tous générer un sentiment de culpabilité à partir du moment où l'on essaie de contrôler ce que l'on mange en se privant ou parfois même en abusant et en dévorant de grandes quantités de nourriture... Il y a divers types de culpabilité et chacun la vit d'une façon qui lui est propre.

Selon un récent sondage mené auprès de 2 300 femmes en novembre 2014, réalisé par le magazine Elle Québec en collaboration avec ÉquiLibre, 53 % des femmes ressentent de la culpabilité lorsqu'elles mangent et 31 % d'entre elles croient que bien manger implique de se priver des aliments qu'elles aiment.

Il faut donc apprendre à apprivoiser son sentiment de culpabilité alimentaire et comprendre les raisons sous-jacentes qui nous poussent à consommer des aliments plaisirs et/ou de trop grosses portions. Plusieurs outils sont également disponibles pour vous aider dans votre démarche. Étant souvent confronté à des personnes vivant beaucoup de culpabilité dans ma pratique de nutritionniste, j'ai décidé d'écrire un livre entièrement consacré à ce sujet : Non Coupable - Libérez-vous de votre culpabilité alimentaire. Dans ce livre, vous apprendrez à reconnaître les situations qui mènent à la culpabilité alimentaire et à apprivoiser ce sentiment. En plus de méthodes et d'outils pour vous aider à éradiquer une bonne fois pour toutes la culpabilité alimentaire, vous trouverez des témoignages de vos vedettes préférées (Alex Perron, India Desjardins, Marilou, Francisco Randez, Patrice Demers, Saskia Thuot, Jean-Philippe Dion, Étienne Boulay, Alexandra Diaz et Marie-Christine Proulx), des recettes de collations non-culpabilisantes ainsi qu'une foule d'astuces pour apprendre à mieux manger... sans culpabilité!

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Joby Bach: le parcours d'un mannequin taille plus québécois qui assume et revendique ses formes (VIDEO)

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Joby Bach, de son vrai nom Joby Bachand, est un mannequin québécois dit taille plus, 5 pieds 9 et taille 13 ans qui travaille au niveau international. Rencontre et confidences d'une femme (d)étonnante qui a appris à aimer son corps et à assumer ses courbes. Un processus qui s'est révélé douloureux et riche d'enseignements.

De nombreux contrats
Joby Bach a défilé notamment pour Reitmans, Simon Chang, ou Jones New York. Sa carrière a explosé il y a un peu plus d'un an, lorsqu'elle a été "castée" pour l'une des campagnes de la marque Wonderbra. Elle devint le premier modèle taille plus à travailler pour la griffe. Une petite victoire en soi et le signe que les temps changent véritablement, l'industrie de la mode aussi.

Autre signe de l'évolution des temps et des moeurs: le livre de photos Curves, une initiative de la photographe de mode Victoria Janashvili, qui met en avant la diversité et la beauté sous toutes ses formes, magnifique projet auquel Joby a participé.


Les photos de Joby Bach dans la galerie ci-dessous.




Apprendre à aimer son corps
La mode a toujours attiré Joby Bach. Enfant, elle se voyait défiler et poser pour les plus grands, mais à l'adolescence, elle est confrontée à son corps qui se développe plus rapidement que ceux des enfants de son âge.

«À 12 ans, mon corps était formé. Il n'y a pas eu d'entre-deux, je suis passée d'un corps d'enfant au corps de femme», se souvient-elle.

Joby, qui rêve de percer dans le milieu de la mode, jalouse les mannequins de taille régulière et méprise son corps. Elle décide de maigrir à tout prix.


«À 15 ans, j'ai essayé de maigrir vraiment beaucoup pour entrer dans le moule social. Je mettais de l'eau dans mes céréales. J'en ai perdu mes cheveux. J'ai failli tomber malade», confie-t-elle.


Le choc violent et douloureux imposé à son corps affaibli va entraîner le déclic dont elle avait besoin. Elle décide d'assumer son corps et d'accepter sa morphologie comme elle est, avant que le cercle vicieux n'aille trop loin.

Une histoire d'amour déterminante la pousse à s'accepter
C'est une histoire d'amour qui la poussera à s'accepter totalement. Celle qu'elle a vécu avec un Haitien qui la regardait différemment. Celui avec lequel elle a découvert une autre culture, où les critères de beauté sont différents et où les courbes sont valorisées.

«Il a fallu que je rencontre un homme avec un oeil différent sur les femmes pour que moi aussi je me vois d'une autre façon», a expliqué Joby Bach.


C'est donc après la naissance de son petit garçon, il y a quatre ans, alors que son corps vient de vivre un grand chamboulement, que Joby décide de se concentrer sur son rêve, une carrière dans le mannequinat qui la voit poser désormais pour de grands noms et de nombreux magazines.

Une évolution applaudie de l'industrie de la mode
Aujourd'hui, elle se réjouit de la tournure que prend l'industrie de la mode qui fait de plus en plus appel à des mannequins avec des courbes, que ce soit sur les podiums ou à la Une des magazines.

«La population est tannée, elle veut des vraies femmes. Les gens ont besoin de se reconnaître. Il faut introduire les femmes avec des courbes, c'est tellement beau», affirme-t-elle.

Quant à l'appellation «taille plus», souvent dénigrée du fait de son utilisation très large, Joby ne s'en formalise pas. Pour elle, ce n'est qu'un terme utilisé dans l'industrie pour différencier les tops qui ne sont pas des tailles 2 ou 4.

Le coup de gueule de Joby Bach
«Je trouve que c'est une honte. Qu'est-ce qu'on attend? On est des followers au Québec. On booke des filles qui viennent des US alors qu'on a tous les outils pour partir notre propre vague!».

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Marisa Miller nue dans une baignoire (pour la bonne cause)

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L’ex-ange de Victoria’s Secret se dénude pour la bonne cause. Enceinte de son deuxième enfant, Marisa Miller a une nouvelle fois acceptée de poser nue. Cette fois, elle milite au côté de l’organisation PETA (People for Ethical Treatment of Animals) contre la mise en captivité des orques tueuses dans les parcs aquatiques de SeaWorld.

"Sea World: Sépare les enfants de leurs mères depuis 1970". Un slogan volontairement choquant, destiné à informer le public des conditions de vie des orques dans les parcs SeaWorld, et ciblant plus particulièrement les séparations mère/enfant. Juste en dessous, Marisa Miller entièrement nue, recroquevillée dans une baignoire. Une façon de rendre compte du ressenti des orques qui passent leur vie entière en captivité.

marisa miller nue

"Voir 'L’orque tueuse' (Blackfish, le documentaire critique sur SeaWorld) alors qu’on est soi-même une mère est extrêmement émouvant", explique Miller dans la vidéo de la campagne. "Je pense que toutes les mères connaissent cette sensation de protection et cette connexion qui s’établit entre la mère et son enfant", poursuit l’ex-mannequin qui appelle au boycott de SeaWorld.

Si la dernière campagne de PETA se focalise sur l'éloignement forcé du jeune orque et de sa mère, les critiques habituelles sur les conditions de vie des orques en détention ne manquent pas de refaire surface.

Blackfish, ennemi juré des parcs aquatiques SeaWorld

En 2013, Blackfish de Gabriela Cowperthwaite avait fait l’effet d’un coup de massue. Partant de l’attaque mortelle d’une dresseuse SeaWorld par un orque en février 2010, le documentaire dévoilait les comportements des orques en captivité, leurs conditions de vie, mais aussi leur rapport avec l’homme dans un environnement artificiel.

Plus récemment, en mars dernier, l’interview de John Hargrove, ex-entraîneur d’orque à SeaWorld et auteur du livre "Sous la surface", avait relancé le débat. Sur les ondes de NPR, il évoquait notamment les mères orques séparées de leur enfant avant l’âge requis, les effets dévastateurs de la vie en captivité ou encore les accidents parfois mortels pour les entraîneurs du parc.

Face à ces accusations, la chaîne de parcs aquatiques a réagi. Dans un communiqué adressé à nos confrères du Huffington Post américain, un porte-parole de la compagnie a tenu à clarifier la position de SeaWorld. "Contrairement à ce que vous pouvez voir dans la campagne PETA, SeaWorld comprend l’importance de garder ensemble la mère orque et son enfant qui dépend d’elle. Les mères subviennent aux besoins alimentaires et nous n’interférons pas et n’intefèrerons jamais à ce niveau, à moins que la vie de la mère ou de son enfant ne soit en danger."

Malgré ces démentis, SeaWorld reste controversé. Pendant longtemps, le groupe a nié l’impact négatif du documentaire, avant finalement d’admettre que le film n’était pas resté sans conséquence, comme l’explique cet article du Monde, qui fait état d’une baisse de 5% du chiffre d’affaire au premier semestre 2014.

La diffusion de Blackfish avait donné un nouveau souffle à la lutte pour la protection des orques, puisqu’un texte de loi avait été proposé en mars 2014 par le député américain Richard Bloom afin de rendre illégal la reproduction et la mise en captivité des orques en Californie. Présentée à la Chambre des Représentants en février dernier, la loi n’a pas été acceptée, pour le plus grand soulagement de SeaWorld, qui possède un parc à San Diego.

A noter que des lois similaires existent déjà dans l’état de Caroline du Sud et à Hawaï, mais qu’elles n’ont pas d’impact direct sur la compagnie SeaWorld qui ne possède pas de parcs dans ces zones. La compagnie a cependant d'ores et déjà annoncé que si une loi de ce type venait à passer en Californie, elle déplacerait son parc, une décision non sans conséquence pour le secteur touristique de la ville de San Diego.







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Les cocktails prennent Montréal d'assaut du 5 au 11 mai (PHOTOS)

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Montréal est une ville qui vibre aux cocktails et à la mixologie. De nombreux établissements offrents d'ailleurs des cours de cocktails, des ateliers et des créations de haut niveau. C'est d'ailleurs la mixologue Gabrielle Pannaccio, une Montréalaise, qui a représenté le Canada au concours de mixologie mondial Grey Goose et qui a surpassé les 46 autres barmans du pays.

Le festival Invasion Cocktail qui en est à sa deuxième édition en est un autre bon exemple. Cet évènement qui se déroule du 5 au 11 mai prochain a pour but de faire découvrir l’art de la mixologie à tous les Montréalais. Une dizaine d'établissements prennent part aux festivités en proposant des cocktails et soirées spéciales. Au total, c'est 150 cocktails à déguster dans 20 bars partout en ville.

Avec votre passeport Invasion cocktail en main (acheté en ligne au coût de 20 $), vous pourrez profiter d'un prix spécial de 5 $ sur tous les cocktails et ce, de façon illimitée toute la semaine jusqu'au lundi 11 mai.

Le coup d'envoi a été donné mardi le 6 mai à L'Auberge St-Gabriel avec pas moins d'une dizaine de kiosques à cocktails. Bonne humeur, ambiance festive et cocktails variés ont fait le succès de la soirée. Un évènement spécial est organisé chaque soir dont
entre autres, une compétition de cocktails vous attend au Rosewood mercredi, une soirée bulles à La Champagnerie jeudi et un brunch festif au restaurant Le Richmond samedi. Et ainsi de suite jusqu'à la soirée de clôture lundi le 11 mai.

Pour la programmation complète, visitez le www.invasioncocktail.com




Vieux-Montréal: visite d'un penthouse ensoleillé avec un grand toit cathédrale (PHOTOS)

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Cette visite a été réalisée par le magazine TOWER TRIP. Rendez-vous sur leur site pour découvrir d’autres propriétés de rêve!


Catherine Dawe, courtière immobilière, nous accueille dans un somptueux penthouse ensoleillé du Vieux-Montréal. Elle qui a travaillé sur les plateaux de tournage de cinéma au début de sa carrière a évidemment appris que la lumière affecte beaucoup la perception d’une scène. C’est pourquoi aussitôt entrée dans l’unité, elle se dépêche à ouvrir tous les rideaux!

Et des fenêtres il y en a! Le soleil s’est mis à jaillir de toutes les directions et rebondir sur le planché de bois qui brille sur nos photos. La salle à diner avec un toit cathédrale est évidemment le centre de notre attention. Avoir autant d’espace à une telle hauteur dans le bâtiment est un véritable luxe.

Au deuxième étage, une passerelle, que nous avons surnommée le «catwalk» en rigolant, relie la chambre des maîtres et les deux autres chambres à coucher. La passerelle surplombe la salle à diner et donne un petit vertige lorsqu’on dirige notre regard vers les gratte-ciels du centre-ville! De ce point de vue, la ville qui se situe un peu plus haut en dénivelé semble encore plus colossale.

Catherine nous explique que ce genre de propriété risque de trouver preneur parmi sa clientèle internationale qui cherche un pied à terre à Montréal sans trop d’entretient. Ce type de clients voyagent souvent dans les grandes villes d’affaires et semblent apprécier le petit côté européen et détendu de la Métropole pour se poser en famille.

Merci beaucoup à Catherine Dawe chez Keller Williams Urbain qui a accepté de nous faire visiter cette propriété sublime. Pour plus de détails, consultez la fiche de vente.



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Quel tapis de yoga choisir? 7 choses à savoir avant de se décider

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Fatigué par le stress de la vie moderne, vous cherchez à retrouver une certaine paix intérieure. Vous avez donc décidé, comme un très grand nombre de personnes à travers le monde, de vous mettre au yoga. Peut‑être même en faites-vous déjà et estimez-vous qu’il est temps de changer de tapis. Dans un cas comme dans l’autre, le Huffington Post s’est penché sur la question: à quoi faut‑il faire attention quand on choisit un tapis de yoga, afin de pouvoir en profiter au maximum?

Nous avons fait appel à des professeurs de yoga, afin de tout savoir sur cet achat. Voici quelques astuces.

Une bonne adhérence est primordiale
Quoi de pire que de glisser sans cesse sur son tapis pendant que l’on tente d’inspirer profondément dans la posture du chien tête en bas? Si vous cherchez un tapis, faites attention à l’adhérence. Vos mains glissent et vous devez vous accrocher pour ne pas tomber? Votre tapis n’est probablement pas idéal. Mais si vous n’avez rien de mieux qu’une natte glissante, Yanoula Athanassakis, professeur de yoga, vous donne un petit conseil.

"Pour les tapis qui glissent, j’utilise de la magnésie blanche. Il m’arrive aussi de le rouler contre du béton pour lui donner un peu d’adhérence," explique-t-elle.

Si vous êtes novice, vérifiez que votre tapis est assez épais…
Développer ses muscles demande un certain temps. Alors autant choisir une natte qui vous aidera tout au long de vos séances.

"Il est important pour les nouveaux yogis d’avoir un tapis plus rembourré. Ils pourront ainsi bien développer leurs articulations et leurs muscles, tout en évitant de se blesser", continue Mme Athanassakis. "Quand j’utilisais un tapis très mince, certaines postures me faisaient mal au poignet."

yoga mats

… mais faites attention à la matière
Rien de tel qu’un bon rembourrage. Mais prenez soin de ne pas faire vos salutations au soleil sur un énorme rectangle de mousse. "Les matelas en mousse sont plutôt conçus pour faire sa gym au bureau, ou pour la sieste", ajoute-t-elle.

Attention aux matières toxiques!
Certaines nattes sont bourrées de PVC, une matière plastique toxique et cancérigène. Optez donc pour un tapis sans PVC. "Vous devez avoir envie de passer du temps sur votre tapis", explique Suzanne Bryant‑Cunha, professeur de yoga installée à San Francisco, et auteur du documentaire Yoga Is. "Alors autant utiliser des produits naturels. Le caoutchouc naturel offre des sensations incomparables."

Pensez léger
L’épaisseur n’est pas la seule chose à laquelle il faut prêter attention : personne n’a envie de se trimballer un tapis qui pèse une tonne toute la journée. Pour un bon équilibre entre épaisseur et légèreté, choisissez un tapis qui ne pèse qu’un kilo et demi.

N’hésitez pas à dépenser un peu plus
Attention : faire des économies, c’est très bien! Mais un tapis de bonne qualité vaut bien une petite folie. "Évitez le bas de gamme, "prévient Mme Athanassakis. "Vous penserez faire une affaire sur le moment, mais il s’usera rapidement, ce qui n’est pas bon pour l’environnement. En plus, ce type de produits est souvent trop fin et trop mou."

yoga

Optez pour un design original
Comme beaucoup d’autres objets utiles de la maison, vous apprécierez d’autant plus votre natte si elle est attrayante. Si une couleur vibrante ou un joli motif peuvent vous encourager à faire vos exercices, alors n’hésitez pas!

Alors, prêt pour acheter son tapis?

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Au Brésil, ces chiens font de la peinture pour sauver les animaux (PHOTOS)

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De l’art, pour sensibiliser à la prolifération des animaux en détresse au Brésil. C’est la campagne lancée par Canismo, "un mouvement artistique créé par un groupe de 'chiens' avec pour objectif d’aider à la protection et à l’adoption des animaux errants", comme il est expliqué sur le site.

Qui se cache derrière se projet? Nul ne le sait. Mais leur campagne de sensibilisation est pour le moins originale. Une toile vierge, de la peinture -à base de colorants alimentaires et de fécule de maïs, et donc non-toxique-... et des chiens en guise de pinceaux et de peintres! Une fois devant la toile, les chiens sont recouverts de peinture et, réflexe ô combien naturel (et horripilant pour certains!), ils se secouent en tous sens!

"Le mouvement de la peinture révèle un véritable exercice de liberté, où chaque goutte de peinture rend compte des préjudices (envers les animaux errants)", mentionne le site.

Résultat? Dix-huit toiles uniques, exposées et mises en vente à partir du 9 mai à l’école Perestroika de Sao Paulo, au Brésil. Sinon, comme nos confrères du Huffington Post américain, profitez du diaporama! Et si la cause vous tient vraiment à cœur, vous pouvez également adopter un de ces artistes à quatre pattes!



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Pour sa demande en mariage, il a fait appel à son fils de 5 ans (VIDÉO)

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Pour sa demande en mariage, ce Norvégien a eu une idée irrésistible: envoyer son petit garçon de 5 ans à sa place.

Comme le montre la vidéo en tête d'article, le papa a profité d'une promenade en montagne, pour envoyer son fils de 5 ans en mission auprès de sa petite-amie. Le garçon fait mine d'offrir un cadeau innocent à la jeune femme: un vaisseau issu de Battlestar Galactica... avec un anneau accroché au bolide.

"Veux-tu te marier avec mon papa?", répète le jeune Kristian qui tente maladroitement de décrocher l'anneau de son jouet. Attention spoiler: la femme a dit oui, évidemment.

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Voici pourquoi votre abonnement au gym est une perte d'argent

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De tous les gens que vous connaissez qui se sont inscrits dans un gym, combien pouvez-vous en nommer qui sont arrivés à brûler leurs graisses et perdre leur ventre (sans payer 600 $/mois pour un entraîneur)?

Quand j'ai appris que 67 % des gens qui s'inscrivent dans un gym n'y vont jamais, je n'ai pas été surpris. Mais ce qui me choque, c'est que même les gens qui y vont chaque semaine arrivent rarement à brûler leurs graisses rapidement.

Si vous évitez les erreurs répandues dont je vais vous parler dans cet article, vous allez arriver à brûler vos graisses 3 à 10 fois plus rapidement que la moyenne des abonnés au gym. De plus, vous pourriez aussi éviter des blessures graves, douloureuses et décourageantes.

Raison #1 : 95 % des appareils cardiovasculaires sont inefficaces pour brûler des graisses
Si vous avez déjà lu quelques-uns de mes articles, vous savez à quel point les appareils cardiovasculaires (elliptique, tapis roulant, vélo stationnaire, etc.) sont une des pires façons de brûler ses graisses.

D'abord, l'intensité et le nombre de muscles sollicités est trop faible. Ces machines ne stimulent pas assez le métabolisme et ne déclenchent pas l'effet de postcombustion. C'est pourquoi une séance de 2 heures sur un appareil elliptique brûle moins de calories qu'un entraînement postcombustion de 30 minutes.

De plus, les longues séances de cardio déclenchent la production d'hormones de stress (cortisol), et en réponse, votre corps a tendance à décomposer vos muscles pour les convertir en énergie. Rappelez-vous : chaque kg de muscle consomme des calories pour se maintenir, en permanence. Moins vous avez de muscle, plus c'est difficile de perdre du gras.

Et finalement, le mouvement est trop répétitif. Après environ 1 à 2 mois d'utilisation régulière, le corps s'adapte au mouvement et vous ne brûlez qu'une fraction des calories.

Raison #2: Les appareils de musculation sont encore plus inutiles pour brûler vos graisses
Soyons clairs : Les machines de musculation (À mouvement contrôlé) ne vous aident pas à brûler vos graisses. Ces appareils ne stimulent qu'un muscle à la fois, et les pauses sont trop longues pour brûler assez de calories.

Pour brûler un maximum de calories, brûler vos graisses, et prendre du muscle, vous devez absolument faire des mouvements qui intègrent un maximum de muscles, pas des machines.

Voici les mouvements à retenir : Soulever de terre, s'accroupir, pousser, tirer, enjamber (fentes), torsions et sprints.

Ces mouvements ne requièrent absolument pas d'équipements. Et si vous voulez augmenter l'intensité, tout ce dont vous avez besoin, c'est une paire d'haltères ou une barre... Pas de payer 2000 $ pour une machine!

En combinant ce type de mouvements dans un entraînement postcombustion rapide et efficace, vous allez brûler plus de graisses en 20 minutes qu'en au moins 2 heures à utiliser des appareils de musculation. (Et vous allez raffermir et définir vos muscles plus vite.)

Raison #3 : Aller au gym vous demande 3 fois plus de temps
En comptant 15 minutess pour se rendre et revenir, le temps de se changer, de jaser à gauche et à droite, attendre après un appareil, etc. Vous doublez facilement la durée de votre séance.

En fait, si vous êtes abonnés à un gym, vous comptez probablement plus de 90 minutes pour un entraînement (tout compris).

La majorité de mes clients adorent le fait qu'ils peuvent faire des entraînements postcombustion à partir de chez eux, sans équipements, en moins de 20 minutes par jour.

Nos agendas sont très remplis et notre motivation est limitée, et ce facteur à lui seul peut être la raison pour laquelle vous n'arrivez pas à vous motiver à aller au gym.

Comment économiser 696 $/an sur votre abonnement au gym... Et brûler vos graisses plus vite
Si les appareils de musculation et cardiovasculaires sont inutiles pour brûler des graisses... Vous réalisez à quel point l'argent qu'on paie dans un abonnement est largement gaspillée. Et ça, c'est sans compter tout le temps et l'énergie passés sur ces machines.

Maintenant, si aller au gym fonctionne pour vous, n'arrêtez pas d'y aller! Même que je vous y encourage. Vous pouvez continuer à aller au gym, mais vous devez absolument vous entraîner de la bonne façon pour brûler vos graisses rapidement. (Et croyez-moi, c'est l'opposé de ce que 95 % des gens font).

Beaucoup de gens comme vous essaient les entraînements postcombustion et préfèrent brûler leurs graisses en moins de 20 minutes par jour, sans équipements, à partir de chez eux.

Au final, la décision est à vous!

Gratuit : Le programme Abdos en 9 mins/jour
Cliquez ici maintenant pour télécharger gratuitement mon entraînement postcombustion "Abdos en 9 minutes par jour" (Conçu pour les hommes).


VOIR AUSSI :



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Quoi faire pour avoir un beau jardin au printemps

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Depuis deux bonnes semaines, le printemps s'est enfin décidé à se remettre au travail ! Il était temps, l'hiver froid et rigoureux semblait s'éterniser.

À l'intérieur vous avez commencé dès le début d'avril à faire vos semis d'annuelles ou vivaces : gaillarde, origan, coréopsis, muflier, giroflée, oeillet d'Inde, cosmos, basilic, bette à carde, choux, to-mate, laitue etc ...

Qui n'a pas trépigné d'impatience en attendant le moment propice au printemps pour sortir et remettre de l'ordre au jardin.Vous aurez pris soin de débarrasser vos plantes gélives des bâches et cônes de protection sous lesquelles elles étaient en dormance à l'abri du froid rigoureux .

fleurs

État du jardin, diagnostic
Faites d'abord un tour du jardin, et constatez quels travaux il va fal-loir réaliser en priorité. Le jardinage est un art qui requiert de l'attention et de l'amour. Au milieu du champ de bataille qu'aura laissé l'hiver, il va falloir remettre de l'ordre !

À présent, allons jeter un oeil sur nos protégées afin de faire le bi-lan des dégâts et d'ajuster les bons gestes pour réparer ou inciter les végétaux à bien repartir au sortir de leur dormance.

De nombreuses branches sur vos rosiers ont pourri, les graminées présentent des tiges sèches et cassantes, des bulbes ont été déterrés et volés par les écureuils, la neige à brulé les feuilles de la plupart de vos vivaces.... à vos sécateurs bien affûtés !
N'hésitez pas à couper tout ce qui a bruni, pourri, séché, la taille va occasionner la repousse en donnant une nouvelle vigueur.

Taillez les arbres fruitiers et appliquez de l'huile de dormance ou de la bouillie soufrée sur les branches avant l'éclosion des bourgeons pour limiter insectes et maladies.

Sur le sol, rebouchez les trous creusés et plantez ensuite des an-nuelles ou des vivaces lorsque la température le permettra (à partir de 15 degré en journée), pour combler les endroits vides.

Désherbez vos plate-bandes, et ajoutez à la volée, des granules de fumier de poule. À l'aide d'un croc, aérer la terre délicatement de façon à préserver les organismes du sol (bactéries, lombrics entre autres) qui vont favoriser la décomposition de la matière et offrir de l'humus à vos plantes.
Amendez la terre si nécéssaire en y ajoutant du sable si elle est trop lourde ou argileuse, du terreau ou de l'humus si elle est trop sèche....

Le jardin en mouvement
Les jacinthes, les crocus, les tulipes et les primevères se bouscu-lent la première place, offrant aux butineurs, le premier nectar prin-tanier.

C'est aussi le moment où vous pourrez déplacer certaines plantes vivaces aux endroits que vous aurez choisi, un jardin est mobile et selon l'orientation, la hauteur et l'exposition, telle ou telle espèce se plaira davantage ici ou là.

Séparer à l'aide de deux fourche-bêche, les pivoines, les pieds d'alouette, les coeurs saignants (ou de Marie), les pulmonaires qui prennent trop de place, la citation diviser pour mieux régner est ici une valeur sûre !

Lorsque le sol commencera à se réchauffer, plantez vos plantes annuelles fleuries pour mettre en avant première, l'accent sur la couleur, en attendant que vos vivaces de manière étalée, fleuris-sent à leur tour.

fleur


La biodiversité s'invite
N'oubliez pas vos jeunes pousses de semis, que vous mettrez en terre au gré de votre fantaisie !
Faites entrer la biodiversité en plantant des espèces locales ou sauvages en invitant une faune utile à l'environnement et en cultivant de manière naturelle sans engrais ni pesticides chi-miques. Je pratique dans mon jardin ce mode de culture et il me le rend bien.

Je crée de plus en plus de bordures fleuries dans ma cour, aussi, la pelouse n'est pour moi qu'un écrin et à part replanter aux endroits clairsemés, je ne l'arrose qu'avec parcimonie et ne veux pas m'en occuper davantage, c'est mon choix. Il faut toutefois apporter quelques soins pour avoir un gazon sain: enlever les mousses, scarifier ou aérer, rajouter un peu de terreau en surface, employer un engrais riche en azote, réparer les endroits clairsemés en semant du gazon de garnissage, arroser, tondre plus tard, désherber manuellement ou chimiquement et surveiller de prés les envahisseurs (larves de cétoines et de hannetons). Travail fastidieux et hérésie écologique, mais il y a des adeptes pour cela...!

Bientôt la période des iris, des roses et des pivoines. Je consacre-rai une chronique spécialement à ces plantes vivaces, favorites au jardin!

Voilà, bon courage ! Je vous laisse visualiser les merveilleux plaisirs que procurent le jardinage, c'est parti, c'est à vous!


Jardinalement vôtre,

Jean-Jacques Revel



Destinations incontournables des 10 prochaines années!

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Où vous voyez-vous dans dix ans? Plutôt que de vous questionner quant à votre emploi de rêve, pensez voyages! Soudainement, le monde entier s'offre à vous.

Vous faites bien de commencer à réfléchir dès maintenant parce que durant la prochaine décennie le monde sera appelé à changer. Vous devez donc partir à la découverte! Les braves et les curieux doivent s’attaquer aux contrées encore inexplorées! Ceux qui aiment être tendance, à vous de cibler les prochaines destinations en vue alors qu’il est impérieux pour les amoureux de la nature de s’aventurer dans les lieux menacés par l’augmentation du niveau de la mer et la pollution.

Avant que le paysage ne change définitivement, voici quelques destinations qui devraient figurer dans votre liste des endroits à explorer dans les dix prochaines années.

Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.



Alors, où vous voyez-vous dans dix ans?

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Le don caché de l'autisme: hommage à ces moments où la vie est plus étrange que la fiction

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Le jour où mon fils Casey reçut un diagnostic d'autisme, à l'âge de quatre ans, je crus que notre univers allait s'effondrer. Voilà notre famille condamnée, ai-je pensé, à l'échec, la peine, la frustration et à des dizaines d'années de questionnement sans réponse: «Pourquoi nous? Pourquoi lui? Pourquoi qui que ce soit?»

Aujourd'hui, je peux affirmer avec certitude que jamais je ne me serai trompée autant de toute ma vie.

Vous voyez, j'ai pris conscience que Casey possédait un don: celui de ressentir dans les situations les plus anodines une joie qu'il partage avec tous ceux et celles qui prennent le temps de le connaître. C'est là le côté moins connu de l'autisme, celui dont les livres, les spécialistes et les médias catastrophistes ne nous parlent jamais.

Les défis sont nombreux pour les enfants autistes et leurs proches: il y a les problèmes de communication verbale et d'interaction sociale, les troubles de motricité fine et globale, les trajectoires de développement inégales, l'anxiété paralysante, le problème de la maîtrise de soi. Impossible d'en minimiser l'importance: le fardeau n'est pas facile à porter.

Malgré tout, les enfants autistes se distinguent aussi souvent par l'intérêt qu'ils portent aux choses qu'ils adorent et qui leur donnent du plaisir. Cette particularité les rend totalement présents au monde et fait de ceux-ci de purs dépositaires de joie.

Depuis toujours, Casey voue une passion aux autobus urbains. Ce n'est pas inhabituel chez un jeune enfant, mais lui les affectionnait à un point tel qu'avant l'âge de trois ans, il connaissait par cœur toutes les lignes de bus. Les premiers mots qu'il a prononcé, hormis «maman» et «papa», furent des vocables comme «bus articulé», «correspondance» et «laissez-passer», alors qu'il ne savait pas encore formuler des réponses complètes (il n'y est arrivé qu'à partir de six ans). À l'époque, nous ne savions pas encore qu'il souffrait d'autisme, mais avec le recul, nous aurions dû nous en douter.

Alors que les enfants de son âge s'exerçaient à déchiffrer leurs albums de Sesame Street favoris, Casey avait mémorisé et savait prononcer à l'âge de cinq ans tous les mots inscrits sur les plans des circuits de bus et les horaires distribués gratuitement un peu partout en ville.

On dit souvent des enfants autistes qu'ils n'ont pas d'imagination, ou encore, d'après les ouvrages un peu plus nuancés sur le sujet, qu'ils ne savent pas s'adonner à des «jeux imaginaires». C'est une affirmation que je n'ai pu confirmer chez aucun des enfants du spectre autistique que j'ai observés. En fait, mon expérience en tant que parent m'amènerait plutôt à prétendre le contraire. Je pense qu'ils ont souvent un pouvoir d'imagination tellement vif que nous, qui appartenons au «monde réel», n'arrivons tout simplement pas à les suivre.

Les rêves de Casey, eux, étaient peuplés d'autobus urbains. Il en parlait constamment. Lorsqu'il conversait avec quelqu'un, l'échange allait souvent comme suit (il faisait rarement des phrases complètes): «Où est-ce que tu habites? Tu prends le bus? Quel numéro? As-tu une carte d'abonnement?», et ainsi de suite. Après avoir épuisé son répertoire de questions, Casey reprenait depuis le début, soumettant son interlocuteur au même interrogatoire encore et encore (et encore), non pas parce qu'il avait oublié ou mal compris les réponses, mais parce qu'il s'en délectait.

Ses jeux imaginaires allaient dans le même sens. Casey avait créé dans la maison un vaste labyrinthe d'arrêts de bus couverts de numéros de lignes découpés dans du papier. Or, l'arrêt le plus important de tous se trouvait à l'extérieur, devant la maison. Il prétendait que les bus s'arrêtaient devant l'allée du garage. Il avait déterminé qu'un poteau indicateur était planté à cet endroit précis. Tous les jours, il s'amusait à jouer aux «bus» devant son arrêt imaginaire au pied de l'allée.

Lorsque des amis ou des voisins passaient nous voir, Casey ne manquait pas de leur montrer son arrêt de bus. Ceux ci lorgnaient du côté de la rue, sans rien apercevoir bien entendu. Ils comprenaient alors que Casey s'amusait et ils entraient dans le jeu. Ce rituel s'est prolongé des années durant.

Tout cela explique pourquoi, un bon dimanche matin, lorsque Casey se mit à pointer du doigt vers la fenêtre en s'exclamant «Le bus est là!», je me contentai de répondre «C'est bien, mon chéri» sans même regarder dehors. Aucun d'entre nous ne daigna lever la tête. Il lança de nouveau: «Regardez! Le bus!» J'acquiesçai encore à deux ou trois reprises: «Oui, oui.» Jusqu'à ce que je me décide enfin à lever les yeux pour qu'il se calme.

Casey avait raison. Au bout du terrain, à l'endroit où se situait son poteau imaginaire, un autobus avait surgi de nulle part. Un bus articulé, pour être précise.

Je tiens à rappeler ici à quel point la présence d'un bus à cet endroit était improbable. Notre maison est située au fond d'une minuscule impasse, dans un petit quartier paisible où jamais un chauffeur de bus ne pourrait ou ne voudrait s'aventurer. Il n'y a nulle part où continuer sa route et pratiquement aucun passager à embarquer.

Tant et si bien que lorsque je vis le bus immobilisé devant l'arrêt de Casey, je dus avaler quelques gorgées de caféine de plus avant d'être capable d'enregistrer la scène. Il y avait bel et bien un bus devant la maison! On aurait dit qu'après avoir jailli de l'imaginaire de Casey pour prendre forme sur ses dessins au crayon de cire, il avait fini par se matérialiser au bout de l'allée.

Je crus tout de suite que quelqu'un avait tout manigancé. Ce ne pouvait être que le cadeau fou d'un sympathique voisin qui s'était farci pendant des années le spectacle de Casey jouant au bus imaginaire devant la maison. Je me tournai vers mon mari pour vérifier s'il n'était pas dans le coup. Il avait l'air tout aussi incrédule que moi.

Casey se précipita dehors vers le véhicule immobilisé devant son arrêt imaginaire, mais qui ne l'était plus tant que ça en fin de compte. Les voisins commencèrent à s'agglutiner sur les perrons et les vérandas, curieux de suivre la scène.

Non seulement il s'agissait d'un bus véritable, mais il y avait aussi des passagers en chair et en os à bord! Des gens qui semblaient tout aussi étonnés de se retrouver là que nous qui les regardions.

C'est alors que nous vîmes la conductrice, qui semblait prise de panique. Notre impasse n'est pas étroite au point où un bus ne peut s'y engager, mais le sortir de là est une tout autre histoire. En particulier s'il s'agit d'un bus articulé qui doit faire demi-tour sans heurter les voitures stationnées, les maisons ou les curieux. Bref, une manœuvre qui exige des nerfs d'acier.

Voici ce qui s'était réellement passé. Aux commandes du bus se trouvait ce matin-là une conductrice qui débutait dans le métier. À cause d'un marathon de bienfaisance qui bloquait la route, elle avait dû improviser un détour à la dernière minute, croyant que notre rue déboucherait sur une autre artère principale. Elle s'était trompée.

Durant une bonne trentaine de minutes, le véhicule resta immobilisé devant l'arrêt imaginaire de Casey. Nous nous demandions tous comment tout cela allait finir, quand un chauffeur expérimenté débarqua d'une voiture et prit le volant. Il fit reculer le long bus sinueux, puis exécuta un demi-tour dans un mouvement leste et fluide. Tout était rentré dans l'ordre.

Après le départ du bus, Casey s'est tourné vers nous en souriant: «Je vous l'avais dit, que c'était un arrêt de bus.» Il a continué à s'amuser comme si rien d'extraordinaire ne s'était produit. La présence du bus l'avait réjoui, mais ses bus imaginaires lui procuraient un bonheur tout aussi grand. Il était simplement ravi que nous ayons accepté d'entrer dans le jeu quand le bus était apparu. Sa passion restait intacte, vrai bus ou pas.

C'était plutôt nous qui avions besoin de voir un bus pour de vrai.

Le mot de la fin revient à mon fils aîné: «Casey a le pouvoir de faire en sorte que les choses qu'il imagine se réalisent.» Je dois admettre que ce jour-là, j'étais assez d'accord avec lui.

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Sommes-nous heureux?

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Une de mes préoccupations principales concerne le bonheur. Pas uniquement le mien, mais celui des autres également. Bien que je n'aie pas la chance d'échanger avec tous les humains peuplant cette planète, une chose semble récurrente et commune à la plupart d'entre nous: le bonheur, ce sera pour plus tard!

Je publiais récemment un article sur le mur de ma bonne amie sur Facebook. Le billet s'intitulait «Elle quitte son emploi à 95 000$ et va vendre de la crème glacée dans les Caraïbes». Plusieurs personnes se sont mises à aimer ma publication. Mon amie m'a dit avoir hâte d'être cette fille-là, elle qui rêve de tout laisser pour pouvoir s'acheter une petite auberge au Panama avec son futur mari. J'en ai aussi souvent discuté avec ma mère, qui rêve de s'acheter une maison dans les mêmes Caraïbes lors de sa retraite. Elle compte presque les mois, malgré les trop nombreuses années qui la séparent de ce bonheur. Ces deux exemples sont concrets, mais je pourrais en nommer mille autres: «Nous aurons la paix lorsque nous aurons une maison!» ; «Je serai fière lorsque j'aurai publié mon premier roman» ; «Nous serons heureux lorsque nous aurons la voiture de l'année». Le bonheur est toujours conjugué au futur et très rarement au présent. Et trop souvent, il est façonné de désirs matériels.

Considérant que notre pays soit l'un des endroits où la qualité de vie soit (en théorie) l'une des meilleures et considérant que plusieurs personnes donneraient tout pour y vivre, je me demande ce qui nous pousse à vouloir quitter et à vouloir aller trouver ce bonheur autre part. L'aspect matériel régissant tous les niveaux de notre vie occidentale en est probablement la plus grande cause. Nous avons soudainement besoin de décrocher, de revenir aux sources. À l'essentiel. Nous avons l'impression de nous perdre parmi les technologies numériques grâce auxquelles nous sommes toujours connectés sur tout, sauf sur le réel, et parmi les emplois que l'on cumule sans les aimer pour autant. On conserve ces derniers parce que le chèque de paie est appréciable et nous permet, ironiquement, de nous entourer d'encore plus de superficialité.

Une chose m'intrigue. À force de forger de tels espoirs et de telles attentes face à un futur que l'on voit comme la solution miracle à tous nos problèmes, ne risquons-nous pas d'être déçus? Il est si aisé de croire qu'«ailleurs» rime avec «meilleur» ; que «plus tard» s'accordera assurément avec «bonheur certain».

Le bonheur ne serait-il pas plutôt un long chemin? J'ai toujours cru que le bonheur ne consistait pas à vivre des «moments de bonheur», mais bien à être heureux de façon constante, à l'image d'une douce sérénité. Est-ce que s'acheter une maison rend heureux? Momentanément, oui. Mais c'est éphémère. On s'habitue à y passer ses journées et ses nuits. Elle fait partie intégrante du quotidien, puis on l'oublie. On a alors envie de posséder davantage, de posséder d'autres choses. Et le même schéma s'ensuit. De ce fait, nous avons toujours l'impression qu'il nous manque quelque chose. Nous sommes dans l'attente perpétuelle du bonheur tant souhaité qui semble ne jamais arriver.

Je ne peux compter le nombre de fois où mon copain et moi avons eu cette discussion. Celle dans laquelle on s'évadait dans le sud de la France pour pouvoir passer nos journées à écrire et à lire (avec quels moyens financiers, l'histoire ne le dit pas...) Celle nous laissant croire que c'était ça, l'image du vrai bonheur. Que nous serions difficilement heureux si cette carte postale ne se concrétisait pas. Mais c'était faux! Le bonheur pouvait être maintenant. Ce pouvait être ici, car l'un n'empêchait pas l'autre. Nous croyions aveuglément que partir serait synonyme de liberté car, comme la majorité des gens, nous avions l'impression d'être en manque de cette liberté, de cette autonomie et de cette indépendance d'esprit.

Nous avions, et avons encore, l'impression d'étouffer, l'impression de nous éloigner de ce que j'appelle le nécessaire. Et pourtant, rien ne nous forçait à mettre le doigt dans l'engrenage. C'était un choix que l'on faisait au quotidien. Alors pourquoi serait-ce différent ailleurs? Ils disent que l'herbe semble toujours plus verte chez le voisin. Ils n'ont pas tort! Comme dirait ma mère, plusieurs choses sont belles de loin, mais sont loin d'être belles.

On développe trop souvent des attentes face à des situations rêvées que l'on enjolive à mesure que le temps passe, souhaitant que la lumière de notre phare reste allumée. Mais une fois sur le terrain, on réalise souvent rapidement que c'était loin d'être ce qu'on avait imaginé. La chute est brutale. On réalise que la médecine est moins évoluée dans cette partie du globe, que le coût de la vie est plus élevé, que la maison coûte cher en s'il vous plaît, ou encore que le prix de notre nouveau iPhone était peut-être exagéré, finalement.

Combien de fois me suis-je dit : «avoir su!» Je ne peux plus compter les fois. Je préférais me créer des attentes pour avoir l'impression d'atteindre des objectifs et, surtout, pour avoir l'impression de vivre (même si c'était en superficie). Je préférais ces maigres aboutissements à celui d'être bien. Disons qu'être bien était pas mal moins glamour qu'exhiber mes nouvelles acquisitions.

Enfin... C'est peut-être ça, le bonheur : apprendre à accepter et à conjuguer ses limites, et cesser de croire que toutes ces barrières disparaîtront miraculeusement sous le coup d'un achat quelconque ou d'un départ précipité. C'est peut-être apprendre à vivre avec soi-même dans l'instant présent, car le futur, c'est maintenant.

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Donner le nom de la princesse Charlotte à un bébé singe? Ce zoo japonais doit déjà regretter

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Ça fait polémique. Au Japon, un zoo a présenté ses excuses et est revenu sur sa décision de donner le nom de "Charlotte" à un bébé singe, jeudi. Ce revirement fait suite à de nombreuses plaintes par téléphone et par courriels à l'intention de la direction, regrettant le manque de respect envers son altesse royale la Princesse Charlotte de Cambrige, née samedi dernier.

Le jardin zoologique naturel de Takasakiyama, situé sur l'île de Kyushu au sud de l'archipel japonais, avait largement attiré l'attention des médias mercredi, en annonçant les résultats du vote désignant le nom du premier bébé singe de l'année (une tradition pour le zoo).

"Charlotte" est arrivé premier du classement avec 59 voix sur 853, devant "Elsa", le personnage Disney du film "La Reine des Neiges". Selon un représentant du zoo, cela s'explique évidemment par l'annonce du prénom de la princesse en Angleterre en début de semaine.




Afin de calmer la polémique, la direction du zoo a annoncé qu'elle réfléchissait à la possibilité de donner un nouveau nom au bébé singe. Au Japon, la famille royale britannique est extrêmement populaire, car sa proximité avec le public contraste avec l'image austère du clan impérial du pays.

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Peur de grossir, peur de maigrir et troubles alimentaires

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Une véritable épidémie de troubles alimentaires s'est propagée en quelques décennies sur l'ensemble des pays occidentaux. On compte aujourd'hui à peu près 1% d'anorexiques dites "mentales", 5% de boulimiques et compulsives sévères, 15% d'obèses dont la moitié présente des troubles du comportement alimentaire (TCA), 20 à 30% de sujets en surpoids et 50% de sujets qui souhaiteraient maigrir.

Clairement, cette épidémie est d'abord liée à la "peur de grossir" et au véritable culte de la minceur propre à nos sociétés occidentales. Dans la mouvance du courant féministe, le rejet des formes rondes impose aux femmes une minceur généralement peu compatible avec leur physiologie (cycles menstruels, grossesse, graisse pelvienne dite de réserve).

Dès lors, nombre de celles qui n'acceptent pas cette image se soumettent à toutes formes de régimes, des plus classiques aux plus folkloriques. Tous ces régimes ont en commun d'entraîner un contrôle alimentaire aboutissant à une restriction qui va à son tour déclencher des TCA. Notamment des boulimies vectrices de prises de poids importantes et conduisant à l'obésité, sauf quand elles s'accompagnent de stratégies de contrôle du poids: vomissements provoqués surtout, laxatifs à doses massives, jeûnes périodiques. La coexistence si fréquemment observée de restrictions et de vomissements entraîne à son tour de nombreux troubles physiques et psychologiques (fatigue, irritabilité, "dépressivité", insomnie et plus encore obsession de la nourriture aboutissant à toutes formes d'addictions).

Ces troubles expliquent la pérennité des symptômes lorsque le cycle est engagé. Il est donc essentiel de lutter contre ces facteurs auto-entretenus, mais aussi contre leurs causes sous-jacentes, essentiellement psychologiques.

Au plan psychologique, on rencontre le plus souvent des jeunes filles ou des jeunes femmes exigeantes, perfectionnistes et intelligentes qui ne supportent pas leur non-conformité au modèle social dominant. Quelle que soit leur corpulence initiale, elles perçoivent négativement leurs seins, leur ventre et surtout leurs fesses. Leurs mères ont souvent contribué à cette image négative du corps féminin. Marquées par le courant féministe des années 60 et 70, elles ont imposé à leur fille, prolongement narcissique d'elle-même, un corps mince et diaphane, conforme à l'image "top model" et stéréotypée qu'elle rêvait pour elle-même.

Mais la psychologie n'est pas seule en cause. "La restriction liée à la peur de grossir" entraîne des déficits et des carences liés aux régimes poursuivis: pauvres en hydrates de carbone, pauvres en protéines (en raison d'un végétarisme anti viande rouge si fréquent à l'adolescence). Ils n'apportent pas les substrats nécessaires à la synthèse d'un neuromédiateur essentiel, la sérotonine. Or celle-ci est précisément "satiétogène" et antidépressive.

La disparition des stratégies de contrôle du poids, en particulier des vomissements, associée au rétablissement d'apports réguliers en sucres lents (pommes de terre, pâtes, riz, blé) et en protéines animales, guérit ces troubles dans une majorité de cas.

Il me semble qu'il s'agit là d'un message essentiel dans une société en déroute qui change ses standards et ses recommandations alimentaires tous les 5 ans!

Ainsi la peur de grossir est au cœur des troubles alimentaires et sans stratégies de contrôle du poids, "cette peur de grossir fait grossir!" Plus rares, touchant plus volontiers des femmes déjà rondes ou obèses, "la peur de maigrir" entretient elle aussi les TCA.

Chez certaines femmes infécondes et désireuses d'un enfant, l'équivalent "grosseur-grossesse" semble s'imposer inconsciemment. Pour d'autres, la grossesse, réelle cette fois, permet de masquer les rondeurs et confère un statut respectable qu'elles ne voudront pas perdre après l'accouchement, dissimulant leur disgrâce dans une adiposité à prédominance abdominale.

Enfin, et ce n'est pas rare, certaines femmes redoutent tout autant leur désir que la crainte d'être désirable et, si elles maigrissent, de ne pas pouvoir résister aux sollicitations masculines. "Grosses", elles se sentent protégées, à l'abri des regards masculins, à tort bien sûr. Pour autant, cette posture consistant à "n'être point désirable pour n'être point désirée" peut difficilement être remise en cause sans un abord psychothérapique.

Bibliographie:
La peur de grossir, de Bernard Waysfeld, aux éditions Armand Colin, 2013
Le poids et le moi, de Bernard Waysfeld, aux éditions Armand Colin (2e édition), 2014



Vins: de nouveaux arrivages à la SAQ

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Voici un aperçu des dernières nouveautés en matière de vin que l'on retrouve depuis les derniers mois sur les tablettes de certaines succursales de la SAQ.

Mais tout d'abord, définissons ce que l'on peut retrouver dans la catégories des nouveaux arrivages. Il peut s'agir de vins que l'on offre pour toute la première fois au Québec, autant pour les produits réguliers (au centre des succursales), que pour les produits de spécialité (Espace Cellier).

On y retrouve aussi des vins qui faisaient déjà partie du répertoire de la SAQ mais dont un nouveau millésime se pointe le bout du nez.

Un hyperlien vous est fourni pour chaque produit afin que vous puissiez faire une recherche sur le site www.saq.com pour trouver une succursale près de chez vous qui le possède en inventaire.

Le seul point commun entre les vins mentionnés ci-dessous est de faire partie de la catégorie des produits nouvellement arrivés. On retrouvera donc parmi ces suggestions, des vins de tous styles, de toutes provenances, et de tous niveaux de prix. Le lecteur retiendra ceux qui lui conviendront le mieux, selon ses goûts, son budget, et pourra utiliser le lien à la fin de ce billet afin d'en télécharger la liste.

Sans plus tarder, voici donc parmi la pléthore de nouveaux arrivages que j'ai pu goûter, 25 produits intéressants, classés par catégories et par prix ascendants. Il devrait y avoir parmi ceux-ci quelques uns qui sauront retenir votre attention.

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Vins blancs

S. de La Sablette, Sauvignon blanc, Vin de France, 2013, France, 11,55$


Un nouveau venu au répertoire des produits courants du monopole qui obtient un succès bien mérité dès le départ. Il possède de jolis arômes d'agrumes ainsi qu'une bouche fraîche et légèrement saline.
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Evolution, Sokol Blosser, Oregon, 18è édition, États-Unis, 19,95$

Ce vin blanc de l'Orégon est très original et délicieux. C'est un assemblage de 9 cépages, dont le Riesling, Muscat, Müller-Thurgau et Pinot Gris. Parfums de fruits tropicaux. Équilibre des saveurs et fraîcheur en bouche sont au rendez-vous.

Montagny 1ier Cru, Louis Roche, Bourgogne, 2011, 26,00$


Du bon bourgogne blanc qui à sa place sur votre table. On y décèle au nez des parfums de fleurs blanches, de miel, et de fleur d'oranger. Un vin fin et élégant qui propose une jolie finale en prime.

Vins rouges

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Coto de Hayas, Garnacha/Syrah, Bodegas Aragonesas, Campo de Borja, 2013, Espagne, 10,95$

Un assemblage à prix doux de Grenache à laquelle on a ajouté un peu de Syrah en provenance de la région espagnole Campo de Borja. Un vin sans prétention que l'on sert autour de 17° Celsius.

Cabernet Sauvignon, Douglas Green, Western Cape, 2014, Afrique du Sud, 11,25$

Les bouteilles du millésime précédent de ce nouveau vin arrivé à l'automne dernier se sont envolés plutôt rapidement. Cela devrait se reproduire avec celui-ci.

Cabernet Sauvignon/Carmenère, Antu, Ninquén, Vina Montgras, 2013, Chili, 19,45$

Les raisins de ces deux cépages ont poussé à environ 300 mètres d'altitude et livrent un vin passablement puissant et épicé. On peut le garder 4-5 ans au cellier afin d'en arrondir les angles, ou bien le consommer maintenant avec un gros steak sur le BBQ.


Domaine Torracia, Christian Imbert et fils, Porto-Vecchio, Corse, 2011, France, 19,70$


Un vin corse bio, léger et délicieusement parfumé. Élégant et très original. Malheureusement, il n'en reste déjà plus beaucoup. Une petite commande peut être?

La Clape, Grand Terroir, Gérard Bertrand, Côteaux-du-Languedoc, 2011, France, 19,80$

Syrah, Carignan et Mourvèdre s'associent avec bonheur dans cette bouteille et procurent un vin souple et juteux pour ceux et celles qui prennent leur plaisir au sérieux. Les vignes poussent à 200 mètres d'altitude sur des plateaux de calcaire fissuré au bord de la Méditerranée.

Vale de Cavalos, Poças Junior, Douro, 2011, Portugal, 19,80$

Il y a 3 cépages autochtones dans ce souple et délicieux vin rouge portugais dont le directeur commercial, Pedro Poças Pintao, était de passage à Montréal la semaine dernière. Le 2011 est parti vite comme l'éclair! Le millésime 2012 n'a cependant pas encore été commandé.

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Crozes-Hermitage, Cave de Tain l'Hermitage, Rhône, 2012, France, 19,95$

La cave coopérative de Tain l'Hermitage nous propose un vin à la couleur rubis violacé, 100% Syrah, à prix compétitif. Dans un style droit et représentatif de l'appellation Crozes-Hermitage en vallée du Rhône.

Terra di Talamo Tempo, Castello de Bossi, Morellino di Scansano, 2011, Italie, 20,15$

Un vin rouge de la région italienne de la Toscane, élaboré à 100% de Sangiovese. Effluves de cerise noire et d'épices douces. Bonne structure, très souple en bouche, bien fait. Prix raisonnable. Servir autour de 17° Celsius.

Pinot Noir, Single Vineyard, Block No 21, Viento Mar, Cono Sur, 2012, Chili, 20,25$


Un Pinot Noir rafraîchi par les brises océaniques et vendangé à la main. Vinifié selon la tradition bourguignonne. Une expression très fruitée et gourmande de ce cépage délicat mais oh! combien capricieux.

Malbec, Chakana, Lujan de Cuyo, 2013, Argentine, 25,55$

Un délicieux vin de Malbec argentin au bon goût de fruit mûr. Les raisins proviennent majoritairement de la région d'Altamira. Il a été élevé 12 mois en fûts de chêne français âgés d'un et de deux ans. Où est le bœuf?

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Rosso di Montalcino, Altesino, Toscane, 2013, Italie, 26,10$

La maison Altesino produit depuis 1973 ce délicieux et fruité vin rouge de Montalcino, élaboré à 100% avec du Sangiovese. Il a bénéficié d'un élevage de 7 mois en barriques de chêne de la Slavonie. Parfait pour les grillades estivales.

Vistorta, Conte Brandolini d'Adda, Frioul, 2009, Italie, 26,40$

On ne boit pas du Merlot italien à tous les jours et encore moins en provenance du Frioul! On peut affirmer que celui-ci, avec ses 5 ans bien sonnés et sa couleur grenat légèrement évoluée, mérite tout à fait son prix.

Pour consulter les dix vins suivants de ces nouveaux arrivages et télécharger toute la liste, cliquez ici.




Lisez également ces récents articles publiés par Yves Mailloux:

"Le vin à la belle étoile", un livre sur le parcours de Gérard Bertrand

Le domaine du Tariquet: une histoire de famille



Pour vos commentaires, questions, suggestions, etc., écrivez-moi en privé à: clubdgv@gmail.com


Le blogue personnel d'Yves Mailloux:Club des Dégustateurs de Grands Vins

Lilikoi le porcelet mène une vie de rêve sur la plus belle île d'Hawaï

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Voici Lilikoi (ou Lilikoi Liliuokalani Victoria, si vous désirez l’appeler par son nom complet).






Ce porcelet de 5 mois vit sur l’île de Kauai, sans doute l’une des plus belles îles de la Terre. Son propriétaire, Allon Amitai, l’a adopté d’une ferme du sud de la Californie alors qu’elle n’était âgée que de 8 semaines.

C’est un porcelet aventureux toujours partant pour essayer de nouvelles activités (comme la randonnée, le paddle board et le bodysurfing). Lilikoi est aussi douée pour se faire des amis de toutes les tailles, toutes les formes et toutes les espèces.

Heureusement pour nous, elle a son propre compte Instagram où elle partage les frasques de sa vie de rêve sous le chaud soleil d'Hawaï.





«Nous l’avons appelée Lilikoi (le mot hawaïen pour fruit de la passion), car elle est ronde et picotée comme un fruit de la passion.» Ces deux autres noms viennent de la royauté, le dernier monarque d’Hawaï, la princesse Liliuokalani, et la reine Victoria d’Angletterre.

Et visiblement, Lilikoi prend les origines royales de ses deux noms très au sérieux. «Elle pense qu’elle règne sur notre demeure», confie Allon Amitai.





Jetez un coup d’œil à d’autres photos de la vie de rêve de Lilikoi ci-dessous :



































Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

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8 des plus spectaculaires grottes marines du monde (PHOTOS)

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Par Adam Lapetina, de Thrillist

Les grottes marines, contrairement à celle bien connue du livre Harry Potter et le Prince de sans mêlé — sombre, terrifiante et remplie d'étranges créatures —, sont généralement des endroits accessibles, inspirants et superbes.

Pour le plaisir de vos yeux, voici ce que le l'érosion par l'eau et le vent peuvent créer de plus beau. Nous vous présentons 8 des plus spectaculaires grottes marines du monde.




Pas rassasié(e)? Thrillist présente 8 autres grottes marines sur son site web (en anglais).

Cet article initialement publié sur le HuffPost États-Unis a été traduit de l'anglais.

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Des rouges à lèvres non nocifs

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Cet article a initialement été publié sur le webzine Mode de vie & compagnie de la Fondation David Suzuki.

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Ah, le printemps… saison souvent associée à la réapparition des couleurs dans la nature, mais aussi celle qui nous donne envie de nous montrer dans notre plus bel apparat! Parmi les produits de beauté disponibles afin de se «mettre en valeur», le rouge à lèvres est pour certaines femmes un incontournable. Attention cependant; les rouges à lèvres contiennent des produits chimiques, mais il est possible d’éviter certains composés nocifs pour la santé et l’environnement, tout en restant coquette!

Un produit de beauté qui facilite l’ingestion des composés chimiques

C’est une évidence, mais on oublie trop souvent que les lèvres font partie intégrante de l’organe de notre corps qui nous permet de manger : la bouche. De facto, tout produit appliqué sur les lèvres facilite grandement l’ingestion de composés chimiques dont certains sont connus pour être dangereux pour la santé. Dans une étude parue en 2013 dans la revue scientifique Environmental Health Perspective, des chercheurs ont calculé que les femmes nord-américaines absorbent une dose quotidienne moyenne de 24 mg de rouge à lèvres pouvant aller jusqu’à 87 mg pour les plus grandes consommatrices. Cela implique que des quantités substantielles de certains composés sont également ingérées, mais quels sont ceux à éviter sans concession?

Le petrolatum et les métaux lourds

Alors que le premier est facilement évitable, les seconds sont présents dans la majorité des rouges à lèvres offerts sur le marché. Le petrolatum est une gelée d’huile minérale dérivée du pétrole (voir notre fiche pour plus de détails). Il est classé comme agent cancérigène par l’Union européenne et est connu pour favoriser les allergies, justement à cause des HAP. Les métaux lourds les plus communs dans les rouges sont le plomb, le cadmium ou le chrome. Le plomb est clairement problématique, parce qu’il est susceptible de provoquer des douleurs abdominales, des migraines, de la fatigue, des vertiges, etc. S’il est facile de détecter la présence du petrolatum en lisant l’étiquette du produit, c’est beaucoup plus difficile pour le plomb. Le site consoglobe.fr vous propose, en page 3 de son article, une petite technique rapide pour détecter la présence de plomb.

Enfin, la meilleure solution pour s’assurer de ne pas ingérer de produits nocifs pour la santé et l’environnement est encore de préparer soi-même son rouge à lèvres. Voici par exemple, un dossier complet sur les rouges à lèvres faits maison.

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